[RP Multi] Haine des hommes (limité à 4 personnes en tout)

(Pourquoi être si grognon? dans la toile tu seras emprisonné héhéhéhé)

Glibs ne comprenait plus rien. Pourquoi courait-ils? L'elfe ne pouvait pas être au courant.
Pas grave je te retrouverait se dit-il

Glibs rentra dans la taverne qu'il venait de quitter et appela l'aubergiste.
-Hé patron, vous n'auriez pas vu un elfe, mais pas celui qui s'est disputé avec l'orc, je parle d'un elfe magicien.
L'aubergiste hésita pendant quelques secondes puis répondit qu'il avait bel et bien vu un autre elfe. Il lui expliqua qu'il dormait dans son auberge, la première porte à droite.
-Merci patron, dit-il en empruntant l'escalier.

Glibs arriva devant la porte indiquée par l'aubergiste et l'ouvrit doucement. Elle n'était pas fermée. En entrant, il vit un elfe qui dormait paisiblement dans son lit, il s'approcha et plaça sa dague sur la gorge de l'elfe. Ce dernier se réveilla en sursaut.
-Qu... qui êtes vous? dit l'elfe.
-Gilbert al'inconnu te passe le bonjour, répondit Glibs avant de trancher la gorge du malheureux.

"Voilà. Avec ça, il ne devraient pas nous poursuivre"

L'Elfe venait de tracer quelque chose au sol.

Thurek se retourna, et sans perdre une seconde, se jeta sur lui.

"Haaaaaah ! Toi ! Tu es utilisateur de magie ! Tu vas payer ! "


Le semi-orc dégaina son épée courte, et la dirigea sur la gorge de l'elfe.

"Tu n'as pas intérêt à refaire ça ! Trop de haine, trop de violence... "

Après ces mots, l'agresseur laissa son arme glisser sur le sol, et resta genoux à terre, le regard vide.

"Tout... Tout brûle... Kranklob... Kranklob... Pourquoi, tu es partie ? Mat... Mat... Krâsh... "

Le semi-orc, anéanti, balbutiait des choses dans un langage particulier, une larme coulant sur sa joue.

Les gardes semblaient rester à distance, à une dizaine de mètres des deux hommes.

"Haaaaaah ! Toi ! Tu es utilisateur de magie ! Tu vas payer ! Tu n'as pas intérêt à refaire ça ! Trop de haine, trop de violence... "

Après ces mots, l'orc laissa son arme glisser sur le sol et resta genoux à terre, le regard vide.

"Tout... Tout brûle... Kranklob... Kranklob... Pourquoi, tu es partie ? Mat... Mat... Krâsh... "

L'elfe haletait, son cœur battait à toute allure.

"Je ne pratique pas la magie, ce ne sont que des runes. Elles n'ont aucun pouvoir offensif."

Les gardes passèrent près d'eux en courant, comme à la poursuite de quelque chose. Ils ne les remarquèrent pas.

"Ça ira?" demanda l'elfe, encore désemparé par l'avachement de Thurek.

"Je ne pratique pas la magie, ce ne sont que des runes. Elles n'ont aucun pouvoir offensif."

"Ça ira?"

Thurek était toujours à genou. Il ne répondit pas à la question de l'elfe. Il ne répondit pas car il n'avait tout simplement pas entendu. Ce dernier subissait une suite d'images, son passé. Il vivait une série de "flash'bak", comme on dit dans le pays.

Ce qu'avait vécu Thurek par le passé n'était vraiment pas joyeux. Après tout, c'était sa faute, si il en était arrivé là. Sa faute, si il avait du partir du village. Sa faute, si elle avait disparu...

Le semi-orc sursauta.

"Ha ! ... Azub, par-vadokunaur... Azub, te malkog-zub... "

Après cette phrase, Thurek reprit petit à petit ses esprits.

Il regarda le ciel. A l'orée de la forêt, l'on pouvait voir le mouvement des feuilles, entraînées par le vent. Des oiseaux chantaient, les nuages formaient des formes volutes et agréables, si douces que l'on aurait voulu les toucher.

" Tu sais, Lenwë... J'ai un lourd passé. Si j'en suis arrivé ici, c'est à cause de quelqu'un. Quelqu'un de mauvais. Encore plus sadique que le roi des Orcs des Plaines, Uruk-Vale... Tu imagines ?
Ma seconde quête est de tuer cet homme.

Mais... Je ne veux pas t'entraîner là-dedans. Aussi, rejoignons la forêt avant que l'on aie de réels problèmes. "

" Tu sais, Lenwë... J'ai un lourd passé. Si j'en suis arrivé ici, c'est à cause de quelqu'un. Quelqu'un de mauvais. Encore plus sadique que le roi des Orcs des Plaines, Uruk-Vale... Tu imagines ?
Ma seconde quête est de tuer cet homme.

Mais... Je ne veux pas t'entraîner là-dedans. Aussi, rejoignons la forêt avant que l'on aie de réels problèmes. "

Lenwë avisa l'orc avec un regard triste. La tristesse qui vibrait dans la voix de Thurek et sa nostalgie réelle le confortèrent dans son désir de l'aider. En plus d'une dette d'honneur, il voulait que s'efface cette flamme bleue qui brillait dans les yeux de l'orc. Ou du semi-orc plutôt. Sa carrure était trop dissemblable à celles des orcs qu'il avait déjà croisé.


"Ma vie et ma lame sont tiennes, dit l'elfe, Si je peux t’être d'une quelconque aide, ce sera avec joie et honneur que je te la donnerai."

Il était décidé à ne plus commettre la même erreur.

"Ma vie et ma lame sont tiennes, si je peux t’être d'une quelconque aide, ce sera avec joie et honneur que je te la donnerai."

Thurek était très impressionné, face à cet elfe qui lui était à présent fidèle. Le semi-orc venait de découvrir le sens de l'honneur prononcé dont les créatures elfiques font preuve.

Thurek répondit donc à cette déclaration :

"Je te remercie pour ta loyauté, qui n'est pas vraiment nécessaire... Sache que j'en suis honoré. Mais... Si tu savais ce que je dois faire dans la forêt... Je ne pense pas que tu me verrais de la même façon."

Le semi-orc commença à marcher hâtivement vers les bois, et reprit :

" Je me demandais... D'où viens-tu ? Il n'y avait pas énormément d'oreilles pointues dans le village. Tu es de passage ? "

L'elfe effaça une de ses runes en se relevant. Il emboita le pas à l'orc et resta silencieux quelques secondes avant de répondre.

"Mon histoire n'est pas très intéressante, dit l'elfe sombrement, Je viens d'un village situé à quelques jours de marche à l'ouest d'ici. J'ai grandis et appris à défendre mon village.

Lorsqu'il a commencé à y avoir les troubles entre les puristes et les demi-elfes il y a quatre ans, je me suis joint à une compagnie d'elfes agissant dans la région nord.

Il y a quelques jours, j'ai enchaîné les erreurs lors d'une bataille contre un élémentaire. Je me suis fait renvoyer. C'est là que je t'ai rencontré, cherchant à oublier mes tourments dans l'alcool. Rien de bien passionnant tu vois."

Le soleil commençait à atteindre sa hauteur maximale. Il n'allait pas dépasser le faîte des arbres; le solstice était pour bientôt.

Thurek lui avait laissé finir son histoire sans intervenir. Étrangement, Lenwë se sentait mieux. Pas de beaucoup, mais mieux.

La neige absorbait le bruit de leurs pas en crissant légèrement. La forêt était immaculée de blanc.


(Un deuxième point apparait sur la carte de Glibs)

(La rune que je viens d'effacer était un Dagaz ᛞ. Elle permet notamment l'invisibilité, combat les esprits maléfiques et il éloigne les événements néfastes. C'est grâce à elle que les gardes ne nous ont pas vu. Elle est la 23ème rune du Futhark.)

Edit @ Gilbert: On est dans le nord! En hiver! On ne met pas comme ça du foin dehors pour qu'il s'abime! C'est bien trop précieux!
En plus devant une auberge, pour quoi faire?
C'est vachement illogique, mec !!!

-C'est impossible. dit Glibs. Il regarda une nouvelle fois sa carte et il y avait toujours 2 points rouge.
-La carte ne peut pas se tromper, a moins que... dit Glibs
Glibs ricana, il venait de comprendre.
Héhéhéhéhé la rune othila ne te servira pas à grand chose lorsque je t'aurai retrouvé, elfe. se dit-il
Glibs devait prendre une décision, lequel des points choisir.

(Je lance un dé, si ça tombe sur 1,2,3 je suis le mauvais point, 4,5,6 je suis le bon....9 ha merde j'ai pris un D10... non je rigole j'ai fait 4 je suis le bon point.)

Après quelque seconde de réflexion Glibs prit le point qui était le plus proche et il alla d'un bon pas vers ce dernier.


(Sumac: Juste comme ça, il existe plusieurs moyen de se soustraire, de leurrer ou de brouiller un sortilège de localisation, il n'y a pas que les runes)

" Il y a quelques jours, j'ai enchaîné les erreurs lors d'une bataille contre un élémentaire. Je me suis fait renvoyer. C'est là que je t'ai rencontré, cherchant à oublier mes tourments dans l'alcool. Rien de bien passionnant tu vois."

Thurek n'avait jamais entendu parler de ce genre de créatures. Dans son village natal, il n'y avait que des humains et quelques semi-elfes.

" Un élémentaire ? Qu'est-ce donc que cela ? Je n'en ai jamais entendu parler. C'est dangereux ? "

Les deux hommes arrivèrent enfin devant la forêt.

Thurek s'accroupit pour ramasser une branche, qu'il cassa en deux directement.

"Mmh... Je ne vais pas pouvoir faire ce que j'avais prévu... Il fait bien trop humide."

Le semi-orc se releva, puis regarda Lenwë.

"(En fait, tant mieux... Ce village m'est sympathique. J'attendrai de faire ce que j'ai à faire plus tard.) "

D'un coup, le semi-orc se retourna.

"Danger ! Je flaire un danger ! Arme au poing !"

Thurek dégaina vivement son épée et se mit dos à l'elfe.


( RP désormais limité à 4 protagonistes. Il peut encore y avoir un autre personnage dans le récit. )

Sumac: Il fait dans les négatif puisqu'on est en hiver et que neige il y a. Il ne fait logiquement pas humide, même à l'aurore.

"Danger ! Je flaire un danger ! Arme au poing !"

Thurek dégaina vivement son épée et se mit dos à l'elfe. Celui-ci dégaina son fauchon etse mit en garde.

Il regretta une fois de plus sa cuite. Il n'était toujours pas en pleine possesion de ses moyens malgré ce qu'il avait dit au semi-orc.

Il cru distinguer un mouvement dans son dos ce n'était que la pointe de l'épée de Thurek.

Soudain, il aperçu des traces dans la neige. D'un signe de la tête, il les montra à son compagnon.

"Des lycans. Il sont passé il y a peu de temps. Reste sur tes gardes."

C'est alors qu'il aperçu une étoffe de tissu maculée de sang accorchée dans les buissons. Le sang était sec depuis longtemps mais il reconnu immédiatement la pièce de tissu.

Lenwë commençait à s'échauffer. La pièce de tissu appartenait au scélerat qu'il avait laissé s'échapper.
Au meurtrier du Mauzya Fa'Yorfoxs.
Au, comme il l'avait appris, fourbe du Désert Sans Nom.
Gilbert al'inconnu !

Glibs continua de marcher et aperçu à une centaine de mètres devant lui Thurek et Lenwë.
Je te tiens se dit-il
Il termina son chemin en courant et une fois arrivé à cinq mètres dérriere eux il leur dis.
-Eh bien, vous pouvez vous venter de m'avoir fait courir. Mais que se passe-t-il? Vous avez l'air tendu comme un nerf de bœuf.

L'elfe se crispa ce que ne manqua pas de ressentir son compagnon.

"Qu..." commença-t-il quand quelqu'un sortit du couvert des arbres

"Eh bien, vous pouvez vous venter de m'avoir fait courir. Mais que se passe-t-il? Vous avez l'air tendu comme un nerf de bœuf."

Le sabre de Lenwë fendit l'air à quelques centimètres du visage du gnome. Thurek aussi avait bougé.

Voyant qu'il avait raté son coup, il projeta de la neige vers le visage du gnome et, se retournant, il lui faucha les jambes.

Il se releva et, en garde, mit la pointe de sa lame sur la gorge du gnome, surpris, et le pressa de répondre.

"Qui est-tu?! Que fais-tu ici?!"

(ok c'est bon mais la prochaine fois écrit tout sa directement car c'est pas très compréhensible)

Glibs mis une mais sur son visage pour enlever la neige et découvrit l'elfe avec son arme pointé sur sa gorge.
-Je peut savoir ce que tu fais avec cette arme?

Quelque chose était apparu, Lenwë avait réagi. Thurek, quelques fractions de secondes plus tard, se rendit compte de qui ils avaient en face d'eux : Glibs.

Le semi-orc s'imposa pour se placer entre l'elfe et le gnome.

" Héla ! Doucement ! Ce n'est que Glibs ! Fin des hostilités ! "

Il souffla, le stress s'en allant peu à peu.

" Qu'est-ce que tu fous là, Glibs ? Tu nous as suivi ? Quelle peur tu nous as fait... D'ailleurs, en parlant de ça, je ressens toujours du danger. Restez sur vos gardes, quand même. "

Il proposa sa main au gnome, tout en farfouillant dans sa poche pour en sortir un morceau de pain sec, pour se sustenter un peu.

"D'ailleurs, en parlant de ça, je ressens toujours du danger. Restez sur vos gardes, quand même..."

Lenwë n'était pas convaincu. La dernière phrase du gnome était étrange. Il ne savait pas encore en quoi mais elle était en désaccord avec son irruption soudaine.

Il refit un tour d'horizon et, ne voyant pas de danger direct, il délaissa Thurek et le gnome et s'approcha de l'étoffe ensanglantée du berbère ... sans lâcher son fauchon.

Il l'arracha et l'observa: couverte de sang séché, elle était faite de deux pièces de tissu de couleurs vives accrochée entre elle à la manière des gens du sud. Elle s'était déchirée, probablement en s'accrochant au broussailles. L'homme avait du fuir quelque chose ou quelqu'un.

Il chercherai plus tard la cause de ceci, pour l'heure, ils risquait des dangers autrement plus graves: le temps se couvrait et les premiers flocons recommençaient à tomber.

L'elfe se retourna vers Glibs et lui demanda:

"Qui est-tu au fait? Je ne t'ai jamais vu dans le coin. Et que fais-tu ici à une heure aussi matinale?"

Glibs accepta la main que lui tendit Thurek et se releva. Il enleva la neige de ses vêtements tout en palpant ces derniers pour vérifier que son arsenal était toujours là.

-Et bien, quel accueil, dit Glibs, je voulais partir avec vous mais vous ne m'avez pas attendu. Quand à toi elfe, je suis Glibs Larchoin, continua-t-il

Glibs regarda l'elfe et se dit: il a des soupçons mais il n'est sûr de rien, prudence.

Glibs remarqua un bout de tissu dans la main de l'elfe, Héhéhéhé ce Gilbert est d'une finesse, l'elfe ne se doute de rien.

-Mais j'ai tout de même une question, pourquoi les gardes vous pourchassaient-ils? demanda Glibs.


Edit Sumac:
Gilbert, prend ton temps, je passe toujours un long moment pour corriger tes bêtes fautes. Je n'ai pas tout mit en rouge et je t'épargne celles de syntaxe, mais fait attention. Et fait gaffe à ta mise en page, reste constant.
C'est parce que tu RP bien que c'est dommage de devoir faire ça. On t'as déjà fait plusieurs remarques.

"Mais j'ai tout de même une question, pourquoi les gardes vous pourchassaient-ils?"

Le gnome avait jeté un regard rapide sur l'étoffe. Discrétement, mais l'elfe avait remarqué la lueur qui s'était allumée dans ses yeux l'espace d'un instant.

Il observa les traces autours des broussailles où il avait trouvé la pièce de tissus. Il n'avait pas neigé depuis la nuit précedente et la neige n'était pas retournée. Si ce Gilbert était bien passé par ici, il était repartit depuis longtemps.

Il observa encore aux alentours; à part leurs traces, celles des lycans et de quelques animaux, personne n'était passé par ici depuis la veille.

Quelle était cette désagréable impression?

Il se retourna vers ce Glibs Larchoin, qui était debout à présent. Lenwë avait un mauvais pressentiment.

"Tu ne m'a pas répondu, lui dit-il, qui es-tu est que fais-tu ici."

Glibs haussa les sourcis, il avait déja répondu à cette question.

-Puisque que tu veux que je me répète, je suis Glibs Larchoin, le gnome qui était dans la taverne avec Thurek et qui voulait vous accompagner. Mais tu n'as pas répondu à ma question, pourquoi les gardes te pourchassaient-ils? dit Glib

Glibs regarda Thurek et dit, Ah mon avis nous devrions nous méfier de cet elfe, il n'est pas recomendable. Que penses-tu Thurek? Pouvons-nous lui faire confiance? dit Glibs

Edit Suamc: C'est pas logique comme situation:

Lenwë dit: "Tu ne m'a pas répondu, lui dit-il, qui es-tu est que fais-tu ici."
Glibs dit: [...]Mais tu n'as pas répondu à ma question

La répétition n'est pas dans la continuité de la situation.
Le "mais tu n'a pas répondu à ma question" aurait été logique dans le cas où la personne à qui tu t'adresse n'aurait pas déjà dit la même chose la phrase d'avant.
Ayant perdu l'initiative, cette phrase n'a pas lieu d'être. Il n'est pas possible de la mettre dans une discussion réelle.


Edit Shaktar : Si, c'est logique. Il a répondu à la question de Lenwë une seconde fois. Ensuite, il a reposé la question à laquelle Lenwë n'avait pas répondu lui aussi. Sumac, abuses pas trop avec le rouge, du vert peut suffire pour ce genre de commentaires

Edit Sumac: OK boss. Ce que je voulais dire, c'est que c'est la formulation qui n'est pas spontanée dans une conversation. Le fond est nickel.

Ah mon avis nous devrions nous méfier de cet elfe, il n'est pas recomendable. Que penses-tu Thurek? Pouvons-nous lui faire confiance?

Cette question le heurta. Bien sûr, Thurek avait appris à connaître l'Elfe, pas Glibs.
Il répondit donc :

"Evidemment. Pas de problème pour ça. Je n'accorde pas ma confiance à tout le monde, mais lui je pense qu'il en vaut la peine. "

Le semi-orc se baissa pour ramasser un peu de neige, qu'il s'étala sur la visage pour déstresser un peu.

" Les gardes... Je n'ai jamais aimé l'autorité. Ils nous ont pris pour des tueurs... Mais nous n'avons rien fait. Si nous les avions suivi, peut-être nous auraient-ils accusés à tort... Quoiqu'il en soit, ne restons pas là. Je pressens un danger de plus en plus proche... Je n'aime pas ça. "

Il regarda ses deux compagnons, puis continua :

"Bon... que faisons-nous ?"

Glibs regarda Thurek et répondit.

-Ah mon avis, il vaudrait mieux sortir de la forêt car si nous sommes attaqué par ce danger que tu ressens nous ne verrons pas l'ennemi arriver ,dit-il

Glibs était quand même surprit que l'elfe ait trouvé une étoffe appartenant à Gilbert. Il prit sa carte magique et un point rouge apparut non loin de leur position. Il ne devrait pas être ici se dit-il.

Soudain, le point rouge se mit a bouger assez rapidement et se dirigea vers un village situé au nord.
Je réfléchirait plus tard à ça. se dit-il

Thurek semblait connaitre suffisement le gnome pour lui faire confiance. L'elfe décida de se fier à son jugement.

D'autant plus qu'un autre danger se rapprochait;
"Allons-y, la neige commence à tomber fort. Je crais qu'une tempête ne se prépare."

Un frisson parcouru son dos.
Il n'était pas à l'aise depuis l'apparition du gnome.

Une rafale de neige lui fouetta le visage quand il comprit.
Lenwë se tendit, immobile. Sa silhouette blanche ondulait entre les éclats argentés.

«Je peut savoir ce que tu fais avec cette arme?»
Le gnome n'avait pas paru surpris d'être ainsi attaqué.

«Je peut savoir ce que tu fais avec cette arme?»
Il s'était tendu lorsqu'il avait vu la pointe de la lame de Lenwë pointée sur sa gorge.

«Je peut savoir ce que tu fais avec cette arme?»
Il s'était tendu mais non par peur.

«Je peut savoir ce que tu fais avec cette arme?»
Il s'était préparé au combat.

«Je peut savoir ce que tu fais avec cette arme?»
Il était prêt à en découdre.

«Je peut savoir ce que tu fais avec cette arme?»
Il ne cherchait pas à rejoindre Thurek


Glips Larchoin était à sa recherche!

Glibs était en train de regarder l'elfe quand il vit une lueur dans les yeux de ce dernier.
Il avait compris.

-Bien, laissons tomber les apparences et discutons, dit Glibs d'une voix douce.
Personellement je n'ai rien contre toi. Au contraire, je t'admire vraiment; cela me ferait mal de devoir de tuer d'autant plus que je ne suis pas sûr dans sortir indemme, continuat il.

-Alors je te propose un marché: pour prouver à l'inconnu que je t'ai tué, laisse moi t'entailler la paume avec ma dague et mettre un peu de ton sang dans une fiole; tu pourras même le faire toi même pour plus de sécurité. Qu'en penses-tu elfe? termina-t-il.